Les autorités locales des villes de Casablanca, Kenitra et Agadir ont procédé, mardi 5 février 2019, à la fermeture de 3 villas appartenant à des membres d’Al Adl Wal Ihssane, qui abritaient des réunions clandestines.
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Sur les réseaux sociaux, des membres de la mouvance islamiste interdite, ne cessent de crier à l’injustice. Les autorités expliquent avoir agi en plein respect de la loi. Notamment celle sur l’urbanisme (12.90) qui énonce que nul n’a le droit de changer l’architecture ou la vocation d’une habitation donnée, qui plus est pour la transformer en lieu de rassemblement et de réunions.
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