Liberté d’expression: Il ne fait pas bon être journaliste en Algérie

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L’Algérie a été à nouveau pointée du doigt par le Parlement européen pour la persécution des journalistes et des défenseurs des droits de l’homme.

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Dans une question avec demande de réponse écrite au haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, l’eurodéputé Ilhan Kyuchyuk s’interroge sur les mesures que l’UE compte mettre en œuvre pour interpeller les autorités algériennes et les inciter à respecter la liberté d’expression.

Détentions et intimidations 

L’eurodéputé rappelle que le 29 mars 2020, un journaliste indépendant algérien avait été incarcéré en détention préventive. Exprimant sa préoccupation de la situation des droits de l’homme en Algérie, l’eurodéputé bulgare, membre de la commission des Affaires étrangères du Parlement européen, rappelle que ce journaliste est proche du Hirak algérien, le mouvement anti- régime qui ébranle le pouvoir algérien depuis plus d’un an.

En moins d’un mois l’Algérie a été au centre de critiques acerbes de la part du Parlement européen pour les exactions commises par le régime à l’encontre des défenseurs des droits de l’homme et des journalistes.

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