Camps de Tindouf: Le calvaire des séquestrées se poursuit

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Les participants à la première Conférence internationale pour la défense de la femme arabe et africaine, tenue le 8 mars 2020 à Marrakech, ont appelé à mettre un terme aux souffrances et exactions subies par les femmes séquestrées dans les camps de Tindouf.

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Les intervenants à cette rencontre, organisée par l’Association sahraouie de solidarité en faveur du projet d’autonomie sous le thème «La femme: perspectives d’avenir, pilier de développement», ont relevé que les femmes séquestrées dans les camps de Tindouf dans des conditions inhumaines et atroces souffrent de violations flagrantes des droits de l’Homme et vivent dans une situation déplorable marquée par la privation de leurs droits les plus élémentaires.

La communauté internationale appelée à intervenir 

Intervenant à cette occasion, la présidente de l’Association sahraouie de solidarité en faveur du projet d’autonomie, Zahra Hidara, a indiqué que ces femmes séquestrées ne célèbrent pas cette année encore la Journée internationale de la femme comme le font d’autres femmes marocaines, en raison des exactions qu’elles subissent au quotidien et des violations de leurs droits, rappelant que les femmes sahraouies détenues dans les camps de Tindouf demeurent les premières victimes des répercussions de ce conflit artificiel monté de toutes pièces par les ennemis de l’intégrité territoriale du Maroc. Hidara a par ailleurs déploré le fait que les cris de détresse de ces femmes ne parviennent toujours pas aux organisations internationales à cause du blocus imposé par l’entité fantoche du Polisario, soulignant, dans ce sens, la nécessité de garantir la protection internationale aux séquestrées de Tindouf et d’œuvrer en vue de leur permettre de regagner le Maroc, leur mère-patrie.

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