Le Maroc et la lutte antiterroriste

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Le Maroc, grâce à la vision clairvoyante de SM le Roi Mohammed VI, a développé un véritable modèle précurseur de coopération qui se fonde sur les liens effectifs et multidimensionnels entre le Royaume et de nombreux pays du monde en matière de lutte contre l’extrémisme violent et le terrorisme.

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Les Etats Unis et l’Union Européenne ne cessent de classer le Maroc comme l’un des havres préservés du terrorisme en Afrique du Nord grâce à sa stratégie nationale en la matière.

Récemment, la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST) a reçu des messages de félicitations et de gratitude du Federal Bureau of Investigation (FBI-section de New York) et de l’agence de renseignement américaine (CIA).

Khalid Cherkaoui Semmouni – Directeur du CREPS

Les deux institutions américaines saluent le niveau de coopération distingué et de partenariat avancé qui les lient aux services de la DGST dans le domaine de la lutte contre le terrorisme et de l’extrémisme violent.

Effectivement, le Maroc est devenu un modèle et une référence internationale dans le domaine. Nombreux sont les Etats, en Amérique, en Europe et en Afrique aussi (surtout les pays du Sahel et du Bassin du Lac Tchad), qui lui demandent l’aide pour prévenir des actes terroristes qui auraient pu coûter la vie à plusieurs dizaines, voire centaines de citoyens, dans leurs territoires.

En outre, le Royaume du Maroc a en effet placé la lutte contre le terrorisme en tête de ses priorités, développant une stratégie multidimensionnelle qui a porté ses fruits. Cette stratégie de lutte contre le terrorisme est basée sur un système à trois piliers: le renforcement de la sécurité intérieure, la lutte contre la pauvreté et les réformes religieuses.

Il a de même été procédé à la création du Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ) en 2015, en tant qu’organisme chef de file de la lutte antiterroriste au Maroc, rappelant que depuis cette année, les services du BCIJ, avec sérieux et compétence, faisaient face avec succès à la menace terroriste, en réussissant à démanteler plusieurs groupes terroristes liés à des réseaux internationaux, comme Daech et Al-Qaïda, en évitant plusieurs attaques terroristes au Maroc grâce à leur stratégie anticipative et efficace.

Le BCIJ n’aurait pas fait tout ça sans coordination avec la DGST, dont les membres, très compétents, déploient des  efforts inlassables et des sacrifices considérables pour garantir la paix et la sécurité des citoyens, protéger leurs biens et préserver la paix, la stabilité et l’ordre public ; ainsi que pour l’esprit de mobilisation, de vigilance et de fermeté dont font preuve ses membres afin d’anticiper et mettre en échec toutes les tentatives terroristes.

C’est grâce au travail performant de cette institution sécuritaire, salué dernièrement par les services de renseignements les plus développés dans le monde, que le Maroc a cumulé une expertise antiterroriste reconnue à l’échelle internationale et, par conséquent, en faveur de la stabilité et la sécurité dans le monde.

Par ailleurs, le Maroc a mis en place une stratégie d’envergure contre la radicalisation et l’extrémisme violent. Parallèlement, il associe son action sécuritaire à une dimension économique et sociale, à savoir que SM le Roi Mohamed VI a placé en tête de ses priorités les objectifs de développement économique et humain (INDH). Cette approche consiste à mettre en œuvre des actions pour lutter contre l’exclusion, la précarité et la pauvreté.

A vrai dire, la politique du Maroc en matière de prévention et de lutte contre le terrorisme relève d’une stratégie nationale cohérente et intégrée qui prend en compte l’ensemble des facteurs menant à la radicalisation et l’extrémisme violent, en adoptant des approches de proximité pour lutter contre le fléau.

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