Registre national des services médiatiques: Une consécration de la transparence

- Publicité -

Inédit. Le ministère de la Culture et de la Communication, département de la communication, vient d’annoncer la création d’un registre national des services médiatiques. Pourquoi ce registre et dans quel but a-t-il été lancé?

- Publicité -

C’est une idée du ministre Mohamed El Aaraj qui souhaite doter le secteur d’un tableau clair recensant tous ses acteurs. Une idée, confie-t-il, inspirée d’initiatives similaires du Royaume, reposant toutes sur une volonté d’organisation et de transparence.

Ainsi, pour le Département de Mohamed El Aaraj, le registre national des services médiatiques, entend organiser le domaine des médias numériques et consacrer la transparence dans l’accès au marché des médias et de l’audiovisuel.

En outre, la création de ce registre s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du plan pratique et exécutif du ministère, visant à garantir le droit à l’information qui est une condition essentielle de la liberté d’expression au Royaume et à assurer le pluralisme des opinions dans un cadre responsable.

Le ministère relève également que cette initiative s’inscrit dans le cadre de l’accompagnement des changements continus que connaît le champ médiatique audiovisuel, son développement et son renforcement et ce, en le dotant d’atouts d’organisation, de qualité, de concurrence et de mécanismes de conformité légale.

Par ailleurs, ledit registre a aussi pour objectif d’assurer le suivi des procédures liées à la promotion des investissements dans le secteur des nouveaux services des médias numériques, à travers la mise en place d’un cadre légal organisant le secteur, affirme le ministère qui ajoute que ce registre inclut à la fois les opérateurs audiovisuels, les fournisseurs de services médiatiques de radiodiffusion et audiovisuels continus et non-continus, ainsi que les fournisseurs d’accès conditionnel.

Sont aussi concernés par ce registre les stations radio, les sociétés de production audiovisuelle, les éditeurs de journaux et de revues, les éditeurs électroniques et les fournisseurs de services de communication électronique, souligne-t-on auprès du département de  la Communication.

- Publicité -

Laisser un commentaire

Please enter your comment!
Please enter your name here