Si on ne sait pas déjà que le sexe est bon pour la santé, c’est qu’on a vraiment la tête ailleurs. Selon la source que l’on préfère croire, l’activité sexuelle est bonne pour la santé à six, huit, dix, seize ou dix-sept titres.
En effet, selon une multitude de recherches scientifiques qui circulent (mais dont la véracité de la plupart reste à prouver tant leur qualité est douteuse…), le sexe permet de brûler des calories, réduire le stress, diminuer la dépression, soulager la douleur, réduire le risque de cancer et de crise cardiaque, diminuer le risque de mourir et même réduire la fréquence des bouffées de chaleur chez la femme ménopausée…
Si l’on part du principe que ces études ont raison et que le sexe a réellement un impact bénéfique sur la santé, alors la question qui se pose tout naturellement est: comment organiser sa vie sexuelle pour en tirer un maximum de profit?
Est-ce qu’une série d’aventures d’un soir est aussi salutaire que des relations installées dans le long terme? De fréquents petites «liaisons» à la sauvette pourraient-elles être aussi bénéfiques et salubres qu’un seul rapport conventionnel?
Un psychologue anglais, a dédié sa carrière à l’étude de ce genre de questions et son rapport, intitulé «Bienfaits et effets relatifs des différentes activités sexuelles sur la santé», conclut qu’il n’y a pas mieux que d’y aller par la voie conventionnelle et de faire les choses dans les règles de l’art, mais de manière modérée. Car c’est là la seule forme de relation sexuelle qui procure les meilleurs résultats physiologiques…
