La deuxième édition du festival international Leonard De Vinci du court-métrage s’est ouverte mercredi soir à la salle Bahnini de Rabat, dans une ambiance cinéphile décontractée. Organisé par l’Association marocaine des artistes libres, en collaboration avec l’École professionnelle d’audiovisuel et de graphisme (EPAG), cet événement qui se poursuit jusqu’au 23 juillet, connaît la participation d’une panoplie d’œuvres cinématographiques issues de quatre pays dont le Maroc, le Soudan, la France et la Belgique.
Cette manifestation culturelle vise à accroitre les opportunités aux jeunes réalisateurs et néophytes pour embrasser le monde du 7ème art à travers le court-métrage, a affirmé Kamal Tirari, président de l’Association, ajoutant que l’EPAG a dédié des bourses d’études aux lauréats de cette édition pour poursuivre une formation encadrée par des professionnels de l’école. Cette édition est particulière vu la participation d’œuvres cinématographiques internationales, a-t-il relevé, appelant, à cet égard, les jeunes réalisateurs marocains, considérés une relève, à y participer.
De son côté, Hicham El Ouali, acteur et membre du jury, a souligné l’importance du festival car il permet à l’étudiant fraîchement diplômé en cinéma de connaître les œuvres cinématographiques, ainsi que des professionnels internationaux dans le domaine cinématographique.
Avec une participation nationale et internationale diversifiée, ainsi que des projections quotidiennes de courts métrages en salle, des masters classes, des débats et des rencontres avec des professionnels, le festival décernera différents Prix pour les catégories suivantes: le Prix du film de fiction, le Prix du film documentaire et le Prix du film créatif. Le Festival Leonard De Vinci du Court métrage de Rabat considère le court métrage comme un lieu unique de renouvellement des écritures et un espace de tous les possibles, où se découvrent et s’aiguisent les nouveaux talents et dans lequel la liberté des créateurs s’exprime de manière éclatante.
avec MAP