Mohamed Laaraj , Ministre de la Culture et de la Communication, s’engage dans une politique volontariste et novatrice en direction des arts et de la culture, notamment du Festival National des Arts Populaires de Marrakech, organisé par l’association le Grand Atlas (AGA), et confirme un très grand intérêt au domaine culturel et artistique.
En effet, lors de l’ouverture du Colloque National sur l’Education Artistique, organisé par son Département sous le thème : «L’éducation artistique, base de l’édification d’une école attractive et d’une société créative», le ministre avait souligné que : «La composante artistique constitue une condition sine qua none à la formation de l’individu et à la construction de la société, dans la mesure où cette forme d’expression humaine que représente l’art, soit intégrée, dans toute composante artistique, qui demeure un préalable indispensable à la réforme de l’éducation par une réelle présence dans le milieu scolaire et pédagogique». Aussi le département de la Culture s’est fermement engagé à renforcer l’arsenal juridique relatif à l’art de manière à intensifier sa présence dans les différents milieux de formation d’arts et de musique, sans toutefois faire de discorde entre politique culturelle et politique éducative.
Ce «schéma d’orientations culturelles», a largement été mis à profit, grâce au ministre, pour le mettre en phase avec les importantes évolutions positives qu’à connues le Maroc dans tous les domaines artistiques, accentuant par là, la réhabilitation des industries culturelles, pour aussi incarner le parti pris des droits culturel et de démocratisation au travers de nombreux et fructueux partenariats. Mohamed Laaraj, reste Fidèle à ses déclarations en faveurs du milieu artistique et culturel suscité par un ensemble de dispositions partenariales qui témoigne de la grande diversité culturelle de toute manifestation artistique du Royaume, dont le Festival National des Arts Populaires de Marrakech (FNAP).
Le FNAP est entré désormais, dans une nouvelle phase de son histoire à son 50ème anniversaire, faisant le pari d’une multitude de mouvements artistiques en allant vers l’universel, c’est un grand rendez-vous des richesses culturelles et artistiques des provinces du Royaume qui sont immenses, chacune d’elle se distingue par son originalité : c’est l’occasion pour le FNAP de démontrer l’élégance de ses différents genres et styles de musique et de danses, qui couvrent plusieurs disciplines, dépendantes les unes des autres, que l’on peut regrouper en trois grands domaines : la danse, la musique et l’Espace autant d’expression culturelles et artistiques qui envahissent aujourd’hui le paysage rural et urbain Des centaines d’artistes nationaux et internationaux vont émoustiller un public d’ici et d’ailleurs, chaleureux et avide de connaitre sa culture et celles des autres.
Même la rue devient une scène, le pourquoi des programmations de plusieurs places publiques de la ville, n’oublions pas que la question de la place de l’art dans l’espace est devenu un véritable enjeu culturel. Les cultures urbaines ou rurales sont des cultures vivantes qui se nourrissent en permanence de l’autre, des systèmes établis évidemment, mais aussi des pratiques artistiques et culturelles qui invitent à repenser certaines modalités d’exploitation. Toutes les cultures sont en perpétuelle évolution elles intègrent de nouvelles formes d’expression artistique lorsqu’elles sont urbaines et rurales, elles restent aussi et surtout des cultures populaires, et donc sont un acteur essentiel de cohésion sociale et d’émancipation citoyenne car, c’est un art au quotidien.
La 50ème édition du FNAP sera un Temps très fort qui propose du 2 au 6 Juillet 2019 des programmations croisées avec les musiques du monde. Mohamed Laaraj, ministre de la Culture et de la Communication, au-delà de l’approche patrimoniale et visant à assurer la pérennisation des Arts et de la Culture toutes disciplines confondues, s’intéresse à leur développement ainsi qu’à leur rayonnement à l’international qui impliquent que ce secteur doit également innover, Mohamed Laaraj souhaite aussi leur préservation, et leur transmission en renforçant leur attractivité, notamment auprès des jeunes susceptibles de se diriger vers les formations artistiques menant à ces professions. Une nouvelle dynamique en faveur des musiques et des danses populaires qui ont besoin d’une certaine hétérogénéité à maitriser pour plus de visibilité des Arts traditionnels qui ont une place toute particulière dans l’identité culturelle du Maroc et de son économie.
Afin aussi d’améliorer la reconnaissance spécifique des Arts Populaires qui passe obligatoirement par leur perpétuité en tant que Patrimoine National. Le Ministre de la Culture s’engage fermement en faveur de la culture, des Arts et des artistes et prend des mesures efficace pour accompagner le renouvellement de tous les métiers d’Art, et souligne d’un grand trait protecteur : l’utilité d’un véritable dispositif qui favorise l’innovation de ce secteur et qui constitue un enjeu vital.
Le Ministre de la Culture et de la Communication ne s’arrête pas seulement là, il s’engage aussi dans une véritable politique de reconnaissance et de promotion des métiers d’art. Il n’est possible de saisir la logique complexe que sur le long terme ; il serait aussi trop long d’évoquer l’œuvre importante et si originale du FNAP, d’année en année , qui doit beaucoup à la qualité et à la compétence des hommes qui parrainent et qui sont à la tête de l’organisation de cet évènement multiculturel , laquelle reste la puissance souveraine de toute réussite.
Fondé sur la mixité sociale et générationnelle, l’émancipation est l’objectif prioritaire de ce projet innovant de la 50ème édition du FNAP, largement ouvert aux acteurs locaux et nationaux et internationaux de la fusion, conviviale, altruiste et tolérante, construite sur une grande pratique artistique professionnelle. Spectacles, soirées poétiques, expositions d’art plastique, ateliers, réunions et conférences sont programmés. Metteurs en scène, Réalisateurs développent déjà dans les coulisses, leur pratique à travers la création de chorégraphies performantes, puisque novatrices qui réinterprètent le différent aspect des scènes artistiques où les danses universelles ont parmi leurs qualités celle d’associer à l’affirmation de leur appartenance et de leurs origines le goût de l’emprunt et de la transformation, celle d’exalter sur scène l’énergie enfiévrée de leur «art» toutes disciplines et horizons confondus.