La ville d’El Jadida a vibré, la soirée du jeudi 3 août, aux rythmes d’une soirée inoubliable
animée par la chanteuse syrienne, Howaïda Youssef ainsi que le musicien marocain Maxime
Karoutchi.
Lors de cette soirée inoubliable, qui a drainé des visiteurs de tout âge et de divers horizons,
Howaïda Youssef a enflammé le public en interprétant, avec grâce et brio, ses tubes anciens et
nouveaux à l’instar de « Aala mine », « Chway Chway »… De son côté, Maxime Karoutchi a tenu
ses promesses en faisant vibrer et danser les spectateurs avec des rythmes bien distingués et en
gratifiant ses fans, en plus de titres issus de ses propres répertoires, de reprises de chansons
d’autres grands noms de la chanson, dont « Atar Yal Atar » et « Ya Rayah », illustrant ainsi la
diversité de la musique marocaine.
En parallèle avec ces spectacles, Rajae Ksabni et Rachid Swalmi ont émerveillé le public de la
ville d’Azemmour qui abrite également des concerts artistiques rentrant dans le cadre du
Festival international Jawhara.
L’ouverture de cette manifestation culturelle a été également marquée par le vernissage à la
Galerie Chaibia Tallal d’El Jadida d’une exposition des belles toiles de l’artiste peintre
d’origine Mazaganaise, Malika El Iraki.
Le Festival qui accorde un intérêt tout particulier aux enfants, leur a réservé un village enfants,
un espace complètement gratuit comprenant des ateliers maquillage artistique, peinture et
dessin ainsi que des ateliers pâte à modeler, henné et danse et chorégraphie.
Selon le directeur du Festival, Nabil Krat, cet évènement, initié par l’Association des Doukkala,
se veut une manifestation pluridisciplinaire où musique, danse, théâtre, spectacle de rue, arts
plastiques, installations arts vidéo, et ateliers, sont au rendez-vous.
En effet, le festival a drainé depuis 2011 plus de 5 millions de visiteurs, avec la participation de
500 artistes et musiciens représentant 25 pays.