Pluie ou pas, jamais assez!

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Un kilo de cerises à 180 dirhams (oui, c’est vrai et c’est bien au Maroc)! Tel était le témoignage d’un présentateur radio qui voulait manifester sa colère (et il a totalement raison de le faire), en donnant cet exemple, vu les prix exorbitants prévalant dernièrement. Qu’il s’agisse des fruits, des légumes, du poisson ou même de la viande, tout est cher! Pourquoi?

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La raison de la hausse des prix -qu’on entend depuis tout petit-, c’est le manque ou le retard des pluies. Eh bien, figurez-vous que maintenant, même avec de bonnes précipitations, les prix sont toujours élevés. Excuse bidon: «Avec ces dernières pluies, il y a eu beaucoup de boue, les accès sont difficiles. On trouve beaucoup de mal à récolter le produit. Dans ce cas, la quantité est limitée et donc les prix sont élevés», explique un agriculteur.

Aujourd’hui, qu’il pleuve ou pas, les agriculteurs ne sont jamais contents et seul le consommateur en paie le prix, malheureusement!Quand les pommes de terre se vendent à 6 dirhams le kilo, les tomates coûtent5 DH/kg, alors que les petits pois atteignent 18 DH/kg, celui-ci (le consommateur) se force carrément à se passer de certains aliments.A savoir que cette hausse des prix ne concerne pas que les fruits et les légumes, mais également les poissons. A Casablanca, les sardines se vendent à 18 DH/kg, les merlans à 70 dirhams et les soles à 60 dirhams.

C’est encore plus malheureux quand on pense à la «bonne» situation géographique du pays. Sur ce, il ne nous reste plus qu’à espérer que cela change au fil du temps et que les autorités concernées puissent gérer et, surtout, imposer un barème qui arrangera tout le monde.

On l’espère…

 

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